dimanche 29 décembre 2013

L'instinct de l'équarisseur de Thomas Day

Précision : Le titre complet est L'instinct de l'équarrisseur. Vie et mort de Sherlock Holmes.

Avant-propos : En ce moment, je m’intéresse beaucoup à Sherlock Holmes (j’ai d’ailleurs toujours un billet en souffrance sur les quatre premières histoires des Aventures de Sherlock Holmes) et à toutes les œuvres dérivées qui lui sont consacrées ainsi qu’aux livres qui ont fait d’Arthur Conan Doyle un personnage de fiction.
Je ne sais plus exactement comment j’ai entendu parler de cet ouvrage, mais son concept m’a séduit.
À noter que contrairement à ce que je pensais au départ (à cause de son nom et du thème so british), l’auteur est français.

Mon résumé : Arthur Conan Doyle est appelé par John Halliwell Watson pour venir assister à une enquête de Sherlock Holmes dans la ville de Londen car l’ « assassin royal » se lance les traces de Jack l’Eventreur.

Mon avis : J’ai adoré l’humour de l’auteur et son univers ultra référencé (par rapport à Sherlock Holmes, mais aussi à l’histoire, à la littérature et au cinéma), même si l’ouvrage est un peu inégal.
Dans cette histoire, il existe deux mondes parallèles : celui d’Arthur Conan Doyle et le monde dans lequel vit le vrai Sherlock Holmes, assassin royal sans pitié, marié à une indienne, mais toujours adepte de drogues et maître de la déduction. Il est engagé dans une grande partie d’échecs avec Moriarty dont l’enjeu au départ est d’arriver à résoudre l’énigme de l'identité de Jack l’Eventreur.
John Watson est un inventeur célèbre. C’est le meilleur ami de Sherlock Holmes et il l’accompagne dans ses missions pour la reine Epiphany Ire.
Arthur Conan Doyle a été choisi pour relater les aventures de Sherlock Holmes, mais celles-ci sont trop extraordinaires pour qu’il les raconte telles qu’elles, alors il transforme la réalité pour qu’elle soit acceptable pour la société victorienne.
Tout au long de l’ouvrage, on croise avec plaisir des personnages célèbres dont les rôles sont plus ou moins importants et plus ou moins détournés : Oscar Wilde, Richard Burton, Sigmund Freud, Jack London, Butch Cassidy et Sundance Kid...

L’ouvrage est composé de trois parties (en plus d’une introduction drôlissime).
La première partie est absolument formidable : nos héros se lancent sur les traces de Jack l’Eventreur qui sévit à Londen comme à Londres (ce qui se passe dans l’un des mondes à une réciprocité dans l’autre). J’ai particulièrement aimé la résolution du l’énigme à Londres.
La deuxième partie m’a paru un peu longue car on se concentre sur Moriarty et sa complice.
Mais la troisième partie est plus intéressante. On retrouve nos trois héros du départ. On plonge un peu plus dans le côté fantastique puisque Moriarty se lance à la recherche du secret de l’immortalité et de ce que l’on appelle l’instinct de l’équarrisseur au pied du Machu Picchu. On va aussi découvrir l’origine du peuple Worsh qui contrôle une partie de Londen.

J’ai été séduite par l’humour un peu particulier de l’auteur (et parfois un brin graveleux). Je vous cite quelques passages : 
"Pour descendre jusqu’à celui-ci, Watson et Holmes se laissèrent glisser le long d’un mât métallique et inoxydable comme celui qu’utilisent les pompiers de Portsmouth pour gagner du temps en cas d’incendie. Il y avait sans doute quelque symbole phallique, voire une forme peu banale de communion homosexuelle dans ce rituel enfantin, mais il était probablement déconseillé de faire ce genre de remarques à quelqu’un d’aussi fasciné par la violence que Sherlock Holmes, et qui, selon les dires de son fidèle compagnon, John Halliwell Watson, claudiquait à cause d’une relation homosexuelle ayant mal tourné." 
" – Malgré votre grossièreté flagrante et votre manque d’éducation qui ferait passer une putain slave imbibée à la vodka frelatée pour une lady d’Oxford, il me reste quelque humanité me poussant à vous prévenir : si nous revenons à Baker Street sans ces ouvrages, Monsieur Holmes sera très mécontent." [Arthur Conan Doyle s’adresse ainsi au libraire de Londen Richard Burton]."
"Ici, les armes sont en vente libre, que dis-je, le gouvernement vous en offre une pour Noël si vous avez tué dans l’année écoulée plus de deux criminels recherchés, cent crotales, un prêtre papiste ou un Indien renégat. Et vous pouvez cumuler ! Il est quasiment impossible de mourir de vieillesse dans ce pays. » [au sujet des Etats-Unis dans le monde de Sherlock Holmes]. 
"Planté au beau milieu du hall de l’établissement hôtelier comme une endive en terre qui n’a pas encore connu les joies de la cuisson enroulée dans une tranche de jambon, bien plus intéressé par la peinture et son ostentation que par le billet de leur informateur-mystère, Arthur remarqua que se trouvaient, perdues au milieu de ces chefs-d’œuvre picturaux si délicats, quelques croûtes affreuses, indignes, signées par un trembloteux portant le nom par barbaresque de Pablo Ruiz Blasco y Picasso – un Mexicain ? – ; il s’agissait pour la plupart d’autoportraits d’une laideur à faire avorter une nonne."
"Holmes alluma sa pipe, toussa et regarda le Worsh  avec un air d’inquisiteur espagnol venant de mettre la main sur une pleine cargaison de sorcières dénudées et vociférantes."

En quelques mots : Un univers décalé et original, bien servi par un humour décapant et des références innombrables, même si le côté un peu inégal m’a fait passer à côté d’un coup de cœur. Je compte découvrir d’autres livres de l’auteur.

jeudi 26 décembre 2013

La bobine d'Alfred de Malika Ferdjoukh

Avant-propos : En juin, j'ai beaucoup insisté auprès de Titine pour que le challenge Hitchcock soit prolongé, mais je n'ai pas publié de billet en rapport depuis (mea culpa). Je vais tenter de me rattraper un peu grâce à ce billet. J'ai aussi Rebecca sur le feu, mais je ne pense pas que j'aurai le temps de lire le livre avant la fin de l'année.

Résumé de l'éditeurHarry Bonnet, 16 ans, fils d’un cuistot montmartrois, et fou de cinéma, se retrouve à Hollywood, sur le plateau n° 17, où il remplace au pied levé un second rôle souffrant et… tombe nez à nez avec Alfred Hitchcock. Le metteur en scène le plus célèbre du monde commence le tournage dont il rêve depuis quarante ans : l’adaptation d’une pièce de J. M. Barrie, l’auteur de Peter Pan. C’est un secret absolu. Le film porte un faux titre et Hitchcock lui-même a pris un nom de code. Mais pourquoi diable Harry a-t-il voulu voir les premières minutes du film fantôme ? Pourquoi a-t-il désobéi au maître du suspense ?

Mon avis : Je suis un peu partagée sur ce livre. Il s’agit d’un ouvrage jeunesse et je ne suis définitivement pas fan du genre. Le livre est une fantaisie autour des thèmes du cinéma et d’Alfred Hitchcock. Mais, les péripéties sont beaucoup trop rocambolesques pour moi. Le père du héros, un cuisinier, est embauché par Lina Lamont (l’actrice qui joue la partenaire de Gene Kelly qui vit mal le passage du muet au parlant dans Chantons sous la pluie), puis se retrouve « prêté » Alfred Hitchcock sur le tournage d’un film adapté de la pièce Marie Rose de JM Barrie. Harry qui a 16 ans réussit à s’infiltrer sur le tournage sans trop de problèmes. Je ne peux pas dire grand-chose de ce qu’il va lui arriver sans trop révéler l’intrigue. En tout cas, je n’avais pas vu venir la fin, mais c’est peut-être parce que je m’étais un peu détachée de l’histoire.

Si l’histoire ne m’a pas passionnée, j’ai apprécié le style de l’auteur, son humour et évidemment sa culture cinématographique. Mais surtout, j’ai été complètement séduite par les références Alfred Hitchcock et au cinéma de l’âge d’or américain. Chaque chapitre porte le titre d’un film d’Hitchcock (parfois légèrement détourné comme par exemple « L’amour aux trousses »). Le fait de retrouver Lina Lamont en tant que personnage secondaire m’a beaucoup plu. Les références dépassent largement le cinéma du maître et constituent un guide très intéressant pour ceux qui voudraient découvrir le cinéma hollywoodien de cette époque. J’aurais adoré avoir un tel ouvrage à ma disposition quand j’ai commencé à découvrir les films de cette période. Il était amusant de chercher les références cachées dans le texte de l’auteur (certaines d’entre elles ne sont pas évidentes et j’en ai sans doute manqué quelques-unes). Il y a aussi un personnage féminin fictif qui est un hommage aux actrices qui ont travaillé pour Hitchcock, mais aussi à une héroïne de Billy Wilder (je ne vous dis pas laquelle, sinon cela vous donnerait trop d’indices).


En quelques mots : Des références absolument passionnantes pour les amateurs du cinéma de l’âge d’or hollywoodien et une intrigue dont il faut accepter la fantaisie pour pouvoir profiter pleinement du livre. Au final, c'est le plaisir qui l'emporte. 






mardi 24 décembre 2013

Death comes to Pemberley de PD James

Avant-propos : Je fais l'inverse de tout le monde : au lieu de quitter la blogo pendant les vacances, j'y reviens parce que j'ai plus de temps... En plus, je présente un livre, paru en français sous le titre La mort s'invite à Pemberley, sur lequel j'avais lu pas mal d'avis négatifs ces derniers temps. Je n'avais même plus vraiment envie de le lire, mais le fait que le téléfilm adapté de cet ouvrage soit diffusé par la BBC à partir du 26 décembre m'a poussée à jeter un oeil sur les première pages (façon de parler puisque je le possède en ebook). Résultat, je ne l'ai pas lâché avant de l'avoir fini.

Mon résumé : C'est l'effervescence à Pemberley puisque tout le domaine se prépare à la tenue de l’événement de la saison : le bal de Lady Anne. Mais la tranquillité de la maison est bientôt perturbée par l'arrivée fracassante de Lydia qui annonce que Wickham a sans doute été tué...

Mon avis : Dès le départ, j'ai été happée par le prologue qui résume avec humour et une pointe d'ironie les événements d'Orgueils & Préjugés, les présentant parfois sous un jour inhabituel. PD James nous présente sa vision du livre de Jane Austen et conserve cette optique tout au long du livre. Ce n'est parfois pas ce qu'on aurait aimé (le côté aigri du colonel Fitzwilliam, par exemple), mais elle se justifie toujours.
Le début en huis-clos est particulièrement réussi. Nous nous trouvons plongés dans la description de la vie à Pemberley, où un bal est un événement majeur,où les conversations tournent autour des relations entre les personnes et des alliances potentielles, où la correspondance joue un rôle essentiel (ah ! les lettres de Lady Catherine et de Mr Collins !). Tout seulement est extrêmement respectueux des histoires racontées par Jane Austen où il n'y a pas non plus beaucoup d'événements exceptionnels. La seule transgression au départ est le fait de nous présenter les relations entre les Darcy et le personnel de Pemberley, ce que j'ai trouvé original et plutôt bien vu.

Nous retrouvons avec grand plaisir les personnages d'Orgueil et Préjugés et ils sont plutôt fidèles aux personnages originaux à commencer par le séduisant et ténébreux Wickham (qui m'a bluffée à la fin), l'égocentrique Lydia, la douce Jane, le sympathique Bingley et Darcy (qui nous livre davantage ses pensées et parfois ses faiblesses). Les deux déceptions sont le colonel Fitzwilliam qui n'est malheureusement plus le sympathique personnage fidèle et loyal de ces débuts et Elizabeth qui est assez en retrait et perd de son éclat (surtout quand elle se rappelle qu'elle aurait pu se marier avec Wickham ou Fitzwillam - bon sang Lizzie, tu as épousé Darcy quand même !). J'ai aussi pris plaisir à croiser des personnages tertiaires que j'avais oubliés comme Denny ou Mrs Younge, tandis que les nouveaux (les domestiques, Alveston) s’intègrent plutôt bien à l'histoire. L'auteur joue aussi avec notre connaissance de Jane Austen, puisqu'elle nous évoque de manière très drôle la famille Elliot ainsi qu'Emma et son amie Harriet Smith. 

La description du système judiciaire et sa critique m'ont vivement intéressée. L'importance du procès et ensuite les révélations finales m'ont paru être un hommage aux romans policiers anglais. On a l'habitude que l'enquête soit importante, mais au fin fond du Derbyshire au début du XIXe siècle, avec pour tout magistrat les notables de la région, il est plus vraisemblable que l'enquête tourne court et qu'on ne voie pas débarquer un ersatz de Lestrade. Il faut rappeler que ce n'est qu'en 1829 que la Metropolitan Police est mise en place à Londres (j'avoue ne pas connaître les dates de la mise en place des forces de police dans le Derbyshire) et plutôt dans la douleur . Les forces des Bow Street Runners qui la précèdent étaient plutôt composées de personnages hétéroclites ayant une vision très personnelle de la loi. C'est d'ailleurs bien pour cela qu'on peut lire beaucoup de policiers se déroulant à l'époque victorienne et très peu de policiers dont l'histoire prend place sous la Régence. La traditionnelle confession finale du coupable qui vient éclairer les quelques éléments laissés encore dans l'ombre est un topos des romans policiers anglais (quasiment tous les premiers Sherlock Holmes sont composés de cette façon - et je n'ai pas encore lu les autres).

Quand au style plat qui revient souvent dans les critiques que j'ai pu lire, je me demande si ce n'est pas dû à la traduction, parce que je n'ai absolument pas eu cette impression en VO, au contraire, j'ai trouvé le style assez travaillé, notamment dans la construction des phrases. J'ai retrouvé de nombreuses pointes d'ironie dans les descriptions, ce qui m'a enthousiasmée. 

En quelques mots : une bonne surprise ! L'auteur parvient à la fois à respecter l'oeuvre originale tout en s'en démarquant. J'ai hâte de voir son adaptation ! 

samedi 14 décembre 2013

L'affaire Jonathan Harker de Stéphane Tamaillon (Krine, Tome 2)

Avant-propos : J'ai lu ce deuxième tome des aventures de Krine cet été, juste après ma lecture du premier. Je n'en avais pas fait de billet. Mais, je viens de recevoir le tome trois pour l'édition Masse Critique de Babelio. Cela me semble donc plus logique de faire un billet du tome deux puisqu'il y aura forcément un billet du tome trois.

Mon résumé : En 1890, Krine est engagé par Bram Stoker pour élucider des crimes commis au Lyceum Theater. Mais, cela va l'entraîner sur les traces d'un complot qui pourrait toucher la reine…

Mon avis : Je ne me souviens plus vraiment de tous les détails du livre. Je l’avais moins aimé que le premier, mais, il faut dire que j’avais enchaîné les deux en 48 heures. Aujourd’hui, plus de quatre mois après, je me souviens de certains éléments précis qui m’avaient bien plus.
C’est grâce à ce livre que j’ai réalisé que Bram Stoker avait été administrateur du Lyceum Theater. J’avais sans doute déjà dû lire cela auparavant, mais, c’est avec Krine que je l’ai retenu. J’ai depuis recroisé ce fait à deux reprises dans deux ouvrages. J’ai aussi fait la connaissance de Sir Henry Irving, l’un des plus grands acteurs de l’époque victorienne.

J’ai beaucoup apprécié la société mise en place par Tamaillon. Il reprend certains éléments réels (workhouses victoriennes, les pontons : bateau – prison comme ceux des Grandes espérances de Dickens) pour les intégrer à son propre univers légèrement fantastique. Le livre évoque une opposition entre les Grouillants (les créatures surnaturelles) puisque certains comme Krine veulent s’intégrer à la société, tandis que d’autres comme Matthew se replient vers le communautarisme, ce qui crée d'énormes tensions sociales. 

La plus grande réussite de ce livre est toujours la façon dont l'auteur joue avec les références culturelles. En plus de ceux cités plus haut, nous croisons : l'Homme invisible, Pinocchio, Caïn, les Grées, le Sphinx et Jekyll...

Par contre, j'ai moins apprécié les rebondissements de l'intrigue. Je les ai trouvés trop nombreux (d'ailleurs, je ne me souviens même plus de la fin) et je me suis un peu doutée du rôle de Brachislavitch. C'est peut-être aussi parce que j'avais lu les deux livres rapidement. 

En quelques mots : Si j'ai été un peu moins séduite par ce tome que par le premier, j'attends quand même avec impatience de retrouver Krine et toutes les références de l'auteur dans le dernier tome de cette trilogie.




samedi 7 décembre 2013

Le bilan du challenge L'art dans tous ses états (novembre 2013)



J'ai un peu de retard pour le bilan car j'ai eu une semaine assez chargée et de plus, le bilan du mois de novembre est très fourni, pour mon plus grand plaisir !

Nous accueillant une nouvelle participante, il s'agit de Valentyne qui a publié aujourd'hui (on est déjà en décembre, mais vu que je suis en retard, je le présente dans ce bilan) un billet très intéressant sur les souvenirs d'enfance de David McNeil, fils du peintre Marc Chagall. Cela s'appelle Quelques pas dans les pas d'un ange (et personnellement, je suis très tentée).

Au  niveau des lectures :
Syl nous a présenté Parcs et jardins secrets en Limousin de Jean-Marc Ferrer et Marie-Hélène Restoin-Evert. Si, sur le moment je me suis demandée si cela entrait bien dans le challenge, le billet de Syl a ôté tous mes doutes !
Praline nous présente un essai intitulé L'Anti-musée de Robert Cantarella et Frédérich Fisbach ainsi que le célèbre Mon Musée imaginaire ou les chefs d'oeuvre de la peinture italienne de Paul Veyne. Par contre, La chimie des larmes de Peter Carey qui semblait très tentant sur le papier, se révèle être pour elle une déception.
Pietra Viva de Léonor de Récondo est un livre dont on a déjà beaucoup parlé dans ce challenge. Ce mois-ci c'est au tour de Claudialucia, Coccinelle et moi-même de le découvrir et nos avis divergent (vous pouvez retrouver les précédents liens sur mon billet).
J'ai lu un roman divertissant qui se passe dans le monde de l'art, il s'agit de Feint of art de Juliet Blackwell.

Mais ce mois-ci c'est au niveau des expositions que nous avons fait exploser les compteurs !  
Frida Kahlo et Diego Riveira, L'art en fusion à l'Orangerie chez Syl et Emma
Désirs et volupté à l'époque victorienne au Musée Jacquemart-André chez Syl, Shelbylee
La Renaissance et le rêve au Musée du Luxembourg chez Syl
Le surréalisme et l'objet au Centre Pompidou chez Claudialucia
La cime du rêve à la Maison Victor Hugo chez Claudialucia
Braque au Grand Palais chez Claudialucia, Emma
Le bilan global de toutes ses expositions chez Claudialucia
Dans ma présentation, j'avais exclu les arts pour lesquels il existait déjà un challenge, mais je n'en connais pas qui ait pour thème la couture donc je valide ces billets !
Miss Dior au Grand palais chez Emma
La mécanique des dessous au musée des Arts-décoratifs chez Emma


Enfin, Eliza et Matilda ont eu une superbe initiative et nous propose de voyager à travers leurs musées imaginaires. Elle nous invite à proposer les nôtres (j'y réfléchis !)
Le billet d'Eliza qui participe au challenge :  Mon musée imaginaire 1- Galerie de portraits

Merci à tout le monde pour ce magnifique bilan ! 

J'ai aussi repéré l'ouverture hier (6 décembre) du Musée Fin de siècle à Bruxelles qui me tente beaucoup !